une dame de Paris en 1807

Un mari échaudé, devenu économiste, fit circuler vers 1807 un paradoxal Etat de la Dépense annuelle d'une Petite-Maîtresse de Paris, d'après ses notes de ménage. Nous le reproduisons ici sans y rien changer, comme document comico-sérieux. Le voici :

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Cent francs en oeuvres de charité...quelle belle âme....

en tout cas elle applique avec assiduité le dicton :
charité bien ordonné commence par soi même

eh ben !
quel train de vie
600 robes 350 paires de souliers!!!!!!!
le prix du lit aussi impressionnant 2 fois le prix des chevaux, il devait etre monumental !!!!

le prix du lit rien à dire, il fallait bien qu'il se rembourse sur la bête !

tout ça pour que Mâdame aille pavaner au Palais Royal avec ses copines dans sa robe de mousseline de coton pour que tout les maroufles lui reluquent les miches.

eh oui remarques il y a au moins des choses qui ne changent pas dans la vie:)

Oui mais en province les tarifs devaient être moins élévés..... d' où déja des délocalisations

1 bonnet par jour et une paire de chaussures par jour également elle les jetait après les avoir mis une fois ou quoi ? pas besoin de donner plus d'argent aux oeuvres de charité, elle devait leur vider tout son surstock d'habits. son mari par contre devait être tout vert en voyant les factures