Alain Pigeard chevalier de la Légion d'honneur

Alain Pigeard, auteur connu pour ses articles et ouvrages sur le 1er Empire, a été fait chevalier de la Légion d'honneur :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=790E78E7483C5BDA2482A1EE4709F3EF.tpdjo15v_1?cidTexte=JORFTEXT000020506686&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id

Ce qui prouve que contrairement à ce que les imbéciles pensent, la plume vaut bien le sabre ou le goupillon, sauf que c'est plus dur à manier correctement avec expertise, talent et professionalisme, tout en étant ingrat.



Félicitations à lui

tu vois ce qui t'attend si tu travaille bien à ta carrière d'historien et de reconstituteur !

Vi Cheffe

C'est loupé déjà pour la carrière de reconstitueur : pas assez ôtantik. Je suis pas un "vrai comme à l'époque" : j'aime bien les wc avec chasse d'eau, ma savonnette Marie Antoinette, mon duvet le soir, faire du cheval pour me faire plaisir, ainsi qu'un rouge qui pique ni les yeux ni le foie et porter un uniforme digne de ce nom Désolé

Quand à celle de "gratte-papier" (comme disent les imbéciles) académique et patenté, je fais de mon mieux, non pas pour avoir la Rouge dans 30 ans mais pour partager des choses intéressantes avec ceux que cela intéresse

Amen!

La couverture c'est bien aussi.
Le cheval cela s'apprend.
Les wc avec chasse d'eau parfumée? Vive le papier hygiénique (parfumé aussi?), c'est vrai qu'il y a des feuilles qui piquent!
Le gros rouge, je n'aime pas non plus.
En ce qui concerne l'uniforme, tu es quand même logé "à la bonne enseigne", ce serait malheureux!
A chacun ses manies en somme?!

Tu vas avoir la rouge si cela continue

Je n'ai juste jamais eu la prétention d'être un vrai . Je me contente de vivre ma passion comme je l'entends et comme l'asso l'entend, sans faire la leçon aux autres (ce qui est à la mode maintenant).
Donc pas de relicae bibi dans l'herbe avec des feuilles de buis comme papier mais pas de t-shirt à la place de chemise, ni de lampre frontale sous ma tente, encore moins de rasoir électrique le matin, de sandwich dona entre deux patates, de portable dans ma giberne ni d'imperméabilisant pour mon manteau mais toujours un verre de rouge, comme à l'époque, à partager avec les camarades .
Finalement, p'être que je vais la demander le rouge mais un Bourgogne.